Historique
Le groupe Eramet est le fruit du rapprochement progressif d’expertises minières, métallurgiques et industrielles. Près de 140 ans d’investissements, de transformations, d’innovations, qui font ce que nous sommes aujourd’hui : un acteur minier et métallurgique incontournable, pleinement engagé pour une industrie performante et durable.
Missions
Agir avec intégrité, en totale conformité avec l’environnement réglementaire et légal est notre priorité. Le Groupe applique une politique de zéro tolérance face à tous comportements contraires aux plus hauts standards internationaux et nationaux. Eramet s’est doté de nombreux référentiels, notamment une Charte Ethique, une Politique anti-corruption signée par tous les membres du Comité exécutif, un guide anti-corruption ainsi que des procédures spécifiques.
Le Groupe a déployé un Programme de Conformité reposant sur trois piliers principaux pour accompagner ses collaborateurs : une Gouvernance Ethique et son organisation dédiée, des référentiels mis-à-jour régulièrement et des outils, dont un dispositif d’alerte.
Valeurs
Éthique & conformité : être un partenaire éthique de choix
Lutte contre la corruption, gestion des conflits d’intérêt, fraudes, protection des Droits Humains… nos métiers et les régions où nous travaillons nous demandent de faire preuve d’une extrême vigilance. Par l’application de notre Charte Ethique – dont les principes répondent aux réglementations et normes éthiques les plus exigeantes – nous défendons nos valeurs et protégeons nos activités.
Notre intervention au Sénégal
Sur la côte sénégalaise, la plus grande drague minière du monde opère au sein d’un bassin artificiel situé sur une bande dunaire de 106 km de long. La filiale d’Eramet y traite chaque année quelques 50 millions de tonnes de sable. A partir du concentré de minéraux lourds extraits, les équipes se chargent d’isoler différents minéraux titanifères : zircon, ilménite, rutile et leucoxène.
Du fait du caractère itinérant de l’exploitation de GCO, le déplacement d’habitations et la perte d’accès à des zones agricoles et pastorales constituent les principaux impacts de l’activité sur les communautés voisines.
L’équipe des relations sociales et communautaires ont ainsi accompagné la réinstallation de près de 920 personnes rattachées aux villages de Diogo et Foth en 2016 et 2019. Ce chantier a été piloté par la Commission de Réinstallation, présidée par le préfet et des représentants des personnes affectées. Dans ce cadre, les communautés ont été étroitement associées au processus de définition des modalités du recasement (sélection du site, configuration du nouveau village, de ses habitations et infrastructures communes etc.). Des terres agricoles de remplacement ont été mises à disposition des habitants et un parcours de bétail a été aménagé aux alentours des villages.
