Qui sommes-nous ?
Fort d’un réseau unique et aux multiples compétences, PwC déploie un maillage du terrain africain et ce, depuis plus de cinq décennies. C’est cette présence qui permet à nos équipes d’offrir à chacun de nos clients une véritable valeur ajoutée sur l’ensemble du territoire. Experts dans les métiers de services intellectuels à l’international, nous entendons accompagner le développement économique subsaharien, par une démarche innovante, engagée et toujours développée sur-mesure.
Une présence historique
Leader sur l’ensemble de ses métiers en Afrique subsaharienne, PwC noue des liens privilégiés avec le continent depuis plus d’un demi-siècle. Parce que notre présence s’est progressivement renforcée ces dernières décennies, parce que nous nous sommes développés dans le cadre d’une croissance maîtrisée, nous sommes aujourd’hui le seul groupe de nos marchés à pouvoir se réclamer d’une inscription dans la durée. C’est cette présence historique qui autorise une excellente connaissance du terrain, tant des acteurs économiques que des opérateurs publics. Et parce que nous savons que l’Afrique n’est pas un marché homogène, nous avons à cœur, jour après jour, de mieux saisir sa diversité et ses pluralités : technologiques, démographiques, culturelles, économiques, réglementaires, mais qui plus est, humaines. Une démarche responsable, durable et permanente, mais surtout en présence constante sur le terrain.
Un réseau unique et multiple
Conscients des réalités politiques et géographiques subsahariennes, PwC a opté dès son origine pour un déploiement panafricain. C’est pourquoi nos équipes s’inscrivent dans des échelles locales, régionales et internationales. C’est cette organisation spécifique qui nous permet d’élaborer nos conseils tant d’un point de vue micro que macro-économique, opérationnel que stratégique. Couvrants 17 pays de l’Afrique subsaharienne depuis sa zone francophone, nos 13 bureaux sont ainsi physiquement établis dans 10 pays. Aussi, pour une meilleure efficience, nous disposons de 5 hubs sous-régionaux. Autant d’échelons de collaborateurs – près de 10 000 sur le continent, pour 400 associés, dont 29 affectés en zone subsaharienne – et qui produisent un réseau unique aux compétences multiples.
Un leadership dans les services intellectuels
La variété des compétences de PwC, associée à une démarche de conseils innovante et toujours sur-mesure, nous permet, en Afrique subsaharienne, d’être leader sur chacune de nos lignes de métiers. Qu’il s’agisse des services traditionnels développés par les cabinets internationaux multidisciplinaires – audit, commissariat aux comptes, conseil juridique et fiscal, actuariat, transactions, et expertise comptable – ou bien de consulting et de stratégie, nous développons des relations de confiance avec chacun de nos clients. Et c’est toujours la même démarche, la même intégrité et la même stricte conformité aux exigences des réseaux PwC, qui nous guident dans les missions que nous confient les grandes industries comme les Etats stratèges. Que vous soyez une PME, une startup, un champion africain ou un service public, notre métier reste d’anticiper les économies de futur en vous accompagnant dans chacune de vos problématiques.
PwC, un acteur engagé au développement africain
A l’heure où l’intégration régionale est un des leviers du développement économique, nous travaillons étroitement avec les bureaux PwC en Algérie, en Tunisie et enfin au Maroc. C’est sur ce dernier territoire, précisément à Casablanca, qu’un nouvel Experience center a été ouvert. Dédié aux questions numériques qui traversent l’Afrique francophone, il réunit dans un même lieu des compétences business, design et technologiques.
Toujours pour soutenir le développement, mais également l’innovation, nous accompagnons des startups panafricaines qui s’attaquent aux grandes mutations environnementales et démographiques de notre siècle.
De même, nous déployons nos propres engagements sociétaux en accord avec les objectifs de développement durable définis par les Nations unis. Une autre façon de s’engager donc. Non pas seulement en concourant au bon développement de nos clients, mais aussi en agissant concrètement, au titre de PwC et ce, depuis plus de 50 ans.
L’innovation chez PwC
Essentiellement poussée par la révolution numérique, PwC soutient et accompagne l’innovation en Afrique subsaharienne comme dans le reste du monde.
Notre responsabilité sociétale d’entreprise
Acteur engagé pour le développement du continent, PwC promeut des dispositifs RSE forts, afin d’avoir un impact positif et durable sur les sociétés et communautés locales
PwC en Afrique subsaharienne
Découvrez nos différents sites d’implantation en Afrique subsaharienne
Notre équipe
Avec plus de 700 collaborateurs et un pool d’Associés en pleine expansion, PwC déploie un réseau unique d’experts au service des acteurs publics et privés de toute la sous-région.
Implantation Guinée
Bien qu’encore dépendante de ses importations d’hydrocarbures, la République de Guinée dispose de réelles perspectives dans le domaine de l’énergie. Située en bordure de l’océan atlantique et offrant plus d’un millier de cours d’eau, sa capacité hydraulique est ainsi évaluée à 6100 MW ce qui lui vaut encore aujourd’hui l’appellation de « château d’eau de l’Afrique de l’ouest ». Outre ses projets hydroélectriques en cours de déploiement, la Guinée doit aussi sa croissance économique en priorité à trois secteurs clés : les mines, l’agriculture et la construction. C’est donc grâce au soutien de ces trois secteurs, notamment par la mise en place de réformes institutionnelles dans le cadre de son plan de développement, que la Guinée affiche en 2018 un PIB de 10,96 milliards USD pour une croissance estimée de 6,2% jusqu’en 2020
Les principaux enjeux sectoriels
Le Plan national de développement économique et social
Les activités minières
Agriculture et hydraulique
Pêche et élevage
Le plan national de développement économique et social (PNDES) 2016-2020
Pour assainir ses finances publiques et ainsi mieux soutenir l’exploitation de ses ressources naturelles, le pays a amorcé une dynamique positive de réformes portées par la Vision Guinée 2040 et par le Plan national de développement économique et social (PNDES 2016–2020). Son financement, multipartite, s’appuie sur une enveloppe de 12,6 milliards USD obtenus en 2018 à l’issue du Forum de Paris, une contribution de la Chine pour 6 milliards USD, et une facilité de crédit élargie du FMI pour 21 milliards USD. Ainsi, la Guinée se dote d’une feuille de route pour flécher ses aides au sein du PNDES, avec pour objectifs le déploiement des infrastructures sur ses 245 857 km2 de territoires et le soutien économique à sa population de 13,3 millions d’habitants.
Activités minières
Disposant des deux tiers des réserves mondiales de bauxite, en plus de réserves importantes d’or, de diamant, de fer et de pétrole, le secteur minier joue un rôle majeur dans le développement économique du pays. C’est pourquoi nombres de multinationales minières y opèrent dans la production de bauxite et d’oxyde d’aluminium, en plaçant ainsi la Guinée parmi les premiers producteurs mondiaux. Le taux de croissance du secteur, estimé à 33% selon la Banque africaine de développement pour 2017, contribue largement au maintien des statistiques du pays, notamment après un ralentissement économique en 2016 suite à une nouvelle épidémie d’Ebola.
Agriculture et hydraulique
La spécificité géographique de la Guinée reste sans contexte l’importance de ses ressources naturelles. Avec ses nombreux fleuves, sa pluviométrie et ses terres inexploitées, les secteurs agricoles et hydrauliques affichent respectivement 5,8% et 34% de croissance. Des gisements de valeurs sont encore à investir, notamment au regard de la structure du territoire :
6.2 million d’hectares de terres cultivables, dont seulement 26% exploitées et moins de 10% cultivées,
300km de littoral, pour des ressources halieutiques estimées entre 150.000 et 250.000 tonnes de poissons par an,
une longue saison des pluies, de 5 à 8 mois selon la région, avec des précipitations annuelles comprises entre 1,200mm et 4,000mm, fournissant environ 400 milliards de mètres cube d’eau,
un réseau fluvial de 6 250 km avec 1 161 cours d’eau et 24 bassins versants,
un patrimoine forestier d’environ 2,7 millions d’hectares soit 11 % du territoire national.
Pêche et élevage
Les ressources guinéennes sont également marines et animalières. Ainsi, le secteur maritime emploie environ 12 000 pêcheurs et couvre plus de 80% des besoins en poisson de la population. Selon le gouvernement, le potentiel de pêche exploitable est estimé entre 150 000 et 250 000 tonnes par an et peut être divisé en quatre grands groupes d’espèces : les poissons pélagiques, les poissons de fond, les céphalopodes et les crevettes. Sur le secteur animalier, dont les performances restent stables lors de la dernière décennie, un potentiel de croissance est encore à libérer. C’est pourquoi les institutions souhaitent soutenir les futurs investissements qui sauront contribuer aux enjeux suivants :
le développement de la production animale (viande, lait, volaille, apiculture)
l’amélioration des infrastructures agricoles
le développement des organisations professionnelles, du secteur privé et des services d’élevage
le renforcement de l’approvisionnement et de la distribution des intrants et équipements agricoles
le programme de formation dans la prévention et de gestion des crises
l’identification et le développement d’un système de financement du secteur
La bauxite, futur leader guinéen
Avec 26% des réserves mondiales de bauxite, la Guinée devrait en être l’un des plus grands producteurs au monde à la fin de l’année 2019, et ce pour une production annuelle de plus de 65 millions de tonnes. Cette performance serait atteinte notamment grâce à la Société Minière de Boké, qui aura contribué au secteur pour 40 millions de tonnes en 2018, grâce à l’augmentation de la croissance de la Compagnie de Bauxite de Guinée, et enfin grâce à l’entrée sur le marché de nouveaux producteurs de classe mondiale tels que CHALCO, EGA, ALUFER et TBEA.